La longue lutte de Victoria pour que justice soit rendue aux survivants de la stérilisation forcée 25 Nov 2023 | Lire l’article
Inter Pares dénonce la crise rohingya et appelle à des mesures immédiates 11 Déc 2017 | Lire l’article
Des activistes résistent à la contagion des coups d’État au Soudan et en Birmanie 9 mai 2022 | Lire l’article
La responsabilité de nos compagnies à l'étranger, c'est une affaire de justice! 26 jan 2017 | Lire l’article
L’égalité, une solution lucide : justice fiscale, paradis fiscaux et économie mondiale 28 mai 2014 | Lire l’article
Arrêter l’imparable : résistance citoyenne à la technologie exterminatrice au Burkina Faso 4 Sep 2019 | Lire l’article
Des services de santé sexuelle et reproductive novateurs en zones de conflit 18 Oct 2023 | Lire l’article
Déclaration sur les dernières violences contre la population rohingya en Birmanie 7 Sep 2017 | Lire l’article
Jusqu’à ce qu’on les retrouve : à la recherche d’êtres chers sur la route du Nord 11 Mar 2019 | Lire l’article
Le Centre des travailleurs et travailleuses immigrants reçoit le Prix Peter Gillespie pour la justice sociale 19 Avr 2018 | Lire l’article
40 años de acción por la justicia social: historias y lecciones en un nuevo libro de PCS 19 Fév 2019 | Lire l’article
40 años de acción por la justicia social: historias y lecciones en un nuevo libro de PCS 19 Fév 2019 | Lire l’article
40 años de acción por la justicia social: historias y lecciones en un nuevo libro de PCS 19 Fév 2019 | Lire l’article
La longue lutte de Victoria pour que justice soit rendue aux survivants de la stérilisation forcée 25 Nov 2023 | Lire l’article
Choisir est mon droit : Plaidoyer pour l'accès à l'avortement au Canada et au Salvador 31 Oct 2022 | Lire l’article
La paix n’est pas une mince affaire Nouvelles : Analyses 1 Sep 2016 Partager Imprimer cette page L'organisation des femmes karen promeut le rôle des femmes dans le processus de paix Crédit: Organisation des femmes karen La paix. Ce terme évoque la douce image de communautés baignant dans la tranquilité. Dans des pays comme la Birmanie, ravagée par des décennies de conflit, le début d’un processus de paix fait souffler un vent d’optimisme sur les médias nationaux et internationaux; il rassure les diplomates et les investisseurs et relance les activités de développement. Mais pour celles et ceux qui ont été directement touchés par le conflit, cet enthousiasme est teinté d’un scepticisme né d’une impression de déjà-vu. Dès 2011, le gouvernement birman marque un intérêt renouvelé pour l’instauration de la paix; mais, comme par le passé, le processus est lent et controversé. Tout comme ailleurs dans le monde, il est aussi conduit par des hommes, bien que la participation des femmes soit garante d’accords plus durables. D’ailleurs, leur absence des divers pourparlers sur le cessez-le-feu et initiatives de consolidation de la paix a vite été soulignée. Malheureusement, la question de leur participation est sujette à toutes sortes d’interprétations; pour beaucoup, le fait qu’elles soient simplement autour de la table semble suffisant. En Birmanie, le processus de paix pâtit du mystère qui l’entoure, de l’exclusion de nombreux groupes ethniques armés, du blocage des pourparlers politiques et de la pression énorme que fait peser la poursuite des projets d’extraction des ressources naturelles. On s’attend à ce que les groupes de la résistance cautionnent un processus constitutionnel biaisé qui maintiendra l’emprise des militaires sur le pays et centralisera le pouvoir aux mains d’un gouvernement national, sapant les aspirations des groupes ethniques à l’autonomie dans le cadre d’un état de type fédéral. Tout processus de paix est coûteux; mais il peut rapporter gros. La société civile peut-elle transformer les structures du pouvoir si le processus est encadré et contrôlé par une élite largement masculine et militaire? Pour les organisations communautaires, le choix est difficile : si elles refusent de s’engager dans un processus susceptible de consolider le pouvoir de l’armée et l’impunité de ses membres, elles risqueraient d’être encore plus marginalisées et taxées de belliqueuses. Certains groupes de défense des droits des femmes avec lesquels Inter Pares collabore ont adopté une posture critique, proposant des alternatives à ce processus tout en revendiquant l’inclusion des femmes. Pour Inter Pares, les dernières années ont été un rappel constant des défis liés à la consolidation de la paix et de la nécessité de soutenir les choix de ses homologues. Galerie2 imagesCliquer pour agrandir Faire un commentaire You must have JavaScript enabled to use this form. Votre nom Comment * Sauvegarder Leave this field blank