Conseil d'administration

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Inter Pares est dirigée par un conseil d’administration composé de treize membres qui dédient leur temps et leur expertise à la justice sociale.

Mariam Wallet Aboubakrine, une femme touareg (autochtone) originaire de Tombouctou, au Mali, est médecin de formation, militante et éducatrice. Ancienne présidente du Forum permanent des Nations Unies sur les questions autochtones (UNIPQA), Mariam mène des recherches et s'engage dans la gouvernance au sein d'organisations autochtones liées aux droits, à la biodiversité et à la santé.

Sarah Hedges-Chou est une activiste qui vit à Ottawa, passionnée par la justice reproductive et les droits des travailleuses et des travailleurs. Elle est membre fondatrice de l’Ottawa Abortion Doula Collective et bénévole de longue date de Planned Parenthood Ottawa.

Ranjan Datta, docteur préside la chaire de recherche du Canada en Résistance des communautés aux catastrophes, Études autochtones, du département des Sciences humaines de l’Université Mount Royal, à Calgary en Alberta.

Beth Jordan est une consultante en gestion basée à Toronto et à la Barbade. En tant que militante pour la justice sociale, elle a des liens profonds avec les mouvements de genre, LGBTI et d'égalité raciale.

Michael Manolson (trésorier) est un consultant en changement organisationnel à Rockwood en Ontario.

Deepa Mattoo (présidente) est une avocate primée, féministe intersectionnelle. Son travail est ancré dans l’équité et la pratique antioppression et antiracisme.

Shree Mulay milite pour la santé des femmes et est professeure à Memorial University à St. John’s.

Debbie Owusu-Akyeeah est une activiste féministe noire primée. Son expérience en plaidoyer local et international s’étend sur plus de huit ans, dans divers projets de la région d’Ottawa-Gatineau.

Odelle Pike d'une famille traditionnelle mi'kmaw de St. George's, à Terre-Neuve-et-Labrador, est une aînée respectée, une militante et une leader communautaire qui se consacre à la revitalisation culturelle, à la santé mentale et à la justice pour les femmes autochtones et les personnes 2SLGBTQQIA+ et leurs familles. 

Maud Pontel consacre depuis plus de vingt ans son expertise et sa passion à la lutte contre la violence sexiste, notamment en renforçant la capacité des communautés à soutenir les survivantes et en menant des recherches qui mettent en evidence l'intersectionnalité des multiples formes d'oppression au sein de la violence sexiste.

Amanda Wilson est professeure agrégée à l'École d'innovation sociale de l'Université Saint-Paul. Ses domaines de recherche comprennent le mouvement alimentaire et les systèmes alimentaires carcéraux, l'organisation collective et les questions liées à la prefiguration et à la mise en oeuvre d'une politique du possible.

Barbara Wood est une militante de la justice sociale basée en Colombie-Britannique qui est fortement engagée envers les peuples autochtones, les droits des femmes et l'équité entre les sexes.

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